La pochette nous invite d’emblée à entrer dans son univers et à faire appel à notre imaginaire.
Son dernier album « The Colossus » pousse le concept encore plus loin. C’est une véritable aventure sonore où chacun peut faire son propre film, avec une ambiance « Shaftienne » très prononcée.
Ce soir nous avons la version 3D sur la scène du Trabendo.
En rentrant dans la salle, le discret Ramble John Krohn, alias RJD2, se trouve derrière le comptoir du merchandising, peu de personnes l’ont reconnu. Lorsqu’on est son propre producteur, il faut être partout !
Lilea Narrative
Après un excellent set de Lilea Narrative, RJD2 entre sur scène.
Concert oblige, nous avons le droit à un patchwork de ses albums. L’aventure sonore que j’avais pu avoir en écoutant les albums opère beaucoup moins ! La rançon du live.
RJD2
Mais le voir jouer en direct reste impressionnant. Quatre platines, un ordi, une boite à rythme et certainement d’autres « outils à son », tout cela pour un seul homme avec deux mains.
Cela reste stupéfiant à voir. Comment arrive t-il à faire cela tout seul ?!
Je retrouve les sons qui m’ont fait voyager dans son univers musical, mais avec moins d’intensité. Lorsque le rêve rejoint la réalité, cela est toujours un peu moins magique…
Je croyais l’univers musical de RJD2 bien + gai que cela, après l’avoir découvert au travers de son single « 1976 » dans le Zebramix ! L’extrait présenté ici en vidéo est bien dark à côté… enfin comme ça, je découvre le personnage dans sa globalité avec cet article !
peut être un peu mélancolique, le dernier album est plus funky!