Barbara Rivage en cinq questions
Votre souvenir de concert ?
Quand on ressent l’énergie du public qui aime ce que l’on fait et qui nous le renvoie, ça c’est incroyable, c’est hyper nourrissant.
Votre rencontre en tournée ?
Lors de notre premier concert sur Rennes, aux Ateliers du vent, on a rencontré Arthur Azara qui nous aide sur l’arrangement des chansons et Pierre-Louis Néron qui est devenu notre technicien son. On faisait leur première partie. Ça a été des rencontres clés et importantes dans le développement du projet.
Votre anecdote dans le van ?
On a pas encore assez tourné pour sortir des anecdotes de van mais ce qu’on aime bien faire lorsque l’on part tous ensemble, c’est de mettre des musiques plaisir coupable et les chanter avec passion. Petite pensée pour Pierre-Louis, notre ingénieur son !
Votre actualité musicale en quelques mots ?
Pour le moment, on se concentre sur le live et l’écriture de nouvelles chansons. Et on sera notamment en première partie de Lujipeka à l’occasion des Trans Musicales 2021, à l’Aire Libre, pendant 5 soirs d’affilée.
Votre prochain rêve ?
Enregistrer un premier album.
Vos attentes vis-à-vis du Crossroads Festival ?
On a aucune attente pour le moment, on est un peu au jour le jour face aux opportunités qui se présentent. On a simplement très hâte de jouer devant un public, c’est ce qui compte le plus.
Barbara Rivage – Insomnie
La playlist de Barbara Rivage
En écoute avec Barbara Rivage
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(Roxane) Quand on s'est rencontré on écoutait en boucle le Velvet. Le cd tournait dans la voiture. On analysait chaque morceau. Ça nous a beaucoup inspiré car à ce moment-là on écrivait aussi en anglais. Peut-être qu'un jour on sortira certains de ces morceaux.
(Roxane) C'est un groupe qui a marqué notre rencontre au même titre que le Velvet. On écoutait les Doors allongé sur la moquette bleue de mon appartement étudiant minuscule. C'était soit on écoutait de la musique, soit on jouait, et ça nuit et jour. Mais on était assez monomaniaque dans nos écoutes.
(Roxane) On a découvert Sébastien Tellier très récemment et la french touch en général. On connaissait déjà mais on s'y intéressait de loin. Aujourd'hui c'est une évidence, ça nous inspire beaucoup dans la création de nouvelles chansons. La Ritournelle c'est un moment de grâce musicale. C'est du génie d'avoir écrit une chanson pareille.
On adore reprendre cette chanson en acoustique. C'est un truc que l'on a pas souvent fait d'interpréter des chansons déjà existantes. On a plus passé de temps à composer. Cet album entier de Murray Head est sublime, mais cette chanson nous a particulièrement touché.
(Roxane) J'ai découvert Patti Smith au lycée, par hasard. Ça a été une révélation. J'ai commencé par lire Just Kids qui raconte l'histoire de son arrivée à New-York et sa rencontre avec Robert Mapplethope, son acolyte et photographe américain dont j'adore le travail artistique, il a une approche du noir et blanc sublime. J'ai lu le livre aussi lentement que je pouvais, je n'avais pas envie de le terminer, c'était comme un refuge. Je suis fan de toute sa discographie.
(Roxane) Cette chanson est une des chansons que l'on écoute beaucoup tous les deux. On est très fan de la discographie de Lennon et du talent évident de Yoko Ono. C'est un classique de notre bibliothèque musicale.
(Roxane) Toutes les chansons de Parcels nous donnent envie de danser. Quand on ne va pas bien on se met le vinyle « Live Vol.1 », enregistré en studio à Berlin. Je les avais vu par hasard, sur Angers, sans connaître le groupe, sans savoir qui ils étaient. C'était fou ! Une semaine après je suis entrée dans un magasin et j'ai entendu leur chanson à la radio, j'étais hyper surprise et j'ai compris que j'avais eu une énorme chance de les voir.
(Roxane) On a découvert Michelle Blades grâce à Fishbach. Elle était sa bassiste. Chacun de ses albums est une pépite. Chaque mélodie de voix lui appartient, chaque partie de guitare. Elle a un univers bien à elle qu'elle renouvelle sans cesse. On a eu la chance de l'avoir fait jouer au festival que l'on a créé avec Vivien lorsque l'on avait encore notre association d'événementiel.
(Roxane) On adore chanter les chansons des Demoiselles de Rochefort, toute la BO est réconfortante. Avec Vivien, on chante souvent ce que l'on veut se dire, plutôt que de parler, on aime bien se croire dans une comédie musicale.
(Vivien) Quand j'était petit je partais souvent en vacance en Espagne, avec mes parents et mon frère, et sur la route il y avait tout un tas de disques qui passaient dans la voiture : les Ramones, les Vines, les Stooges, les Strokes et bien d'autres. J'ai choisi ici The end has no end des Strokes, cette chanson a toujours le don de faire surgir en moi une profonde vague de nostalgie.
(Vivien) Connan Mockasin, il a une identité musicale et visuelle qui est incroyable et unique. On est ultra fan de tout ce qu'il fait. Cette chanson est si belle et mélancolique, elle fait un effet étrange dans tout le corps quand on l'écoute.
(Vivien) La musique de Neil Young, c'est une évidence. Ses mélodies de voix et de guitare apaisent le coeur. Cette chanson en particulier est très belle.
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