Avril 2008. Alela Diane accompagnée de son père et de Marie Sioux conquiert l’Épicerie Moderne avec son Pirate’s Gospel.
Novembre 2023. Alela Diane émerveille une fois de plus ses auditeurs accompagnée d’une batteuse, pianiste, flûtiste et d’une altiste.
Entre temps, on se souvient d’Alela pas impressionnée par le mur du public des Nuits de Fourvière en 2012, mais aussi dans la regrettée salle Rameau en 2014 avec sa première fille Vera tout juste née et un Ronan Siri bouleversant, en 2018, sous la verrière des Subsistances lors du festival du Petit Bulletin avec une autre artiste spécialiste en émotions stratosphériques, Lior Shov ou plus récemment dans l’Olympia lyonnais, Le Radiant-Bellevue en février. Bref, la retrouver est un bonheur simple, sa voix emplit l’espace et nos cœurs en chantant son dernier album Looking Glass dont cette sublime supplique Off Love entremêlé de ses plus beaux titres passés, Emigré ou Albatross et bien sûr la quadrilogie des débuts, Tired Feet et son arpentage parisien, The Rifle écrite après un rêve dans une auberge de jeunesse, l’hymne rebelle The Pirate’s Gospel et bien sûr la vitale et essentielle, Oh! My Mama qui nous redonne à chaque écoute du courage. Le concert fini, Alela toujours aussi disponible est émue quand un spectateur lui fait dédicacer son disque de Noël, It’s always Christmas somewhere, avec le prénom de sa fille, Alela. La boucle est presque bouclée, avant un prochain concert.
Discographie
Alela Diane
Merci encore Fabrice pour la super photo avec ma Divine et bravo pour ce très bel article ! Pour les autres… le spectateur père d’une autre Alela… C’était moi et quel concert encore une fois !!!
Ces photos sont effectivement magnifiques, elles dégagent une chaleur et une invitation à l’immersion dans l’ambiance du concert.