L’album s’ouvre sur le premier single Let’s Bang, parfait morceau à dancefloor (Tout comme Sex Ball qu’on retrouvera plus en avant.) C’est alors l’occasion de découvrir Samah, chanteuse anglo égyptienne et dernière recrue de Shaka Ponk. Sur Brunette Localicious un morceau teinté de pop 90’s et sautillante Samah prend le contrôle et sa voix féminine et énergique trouve tout naturellement sa place au sein du groupe. My Name Is Stain est un cyber reggae, Shiza Radio un métal 8 bit… Les touches world (Run Run Run entre autre, Dancing Dead et son beat à onduler du bassin) laissent présager de gros moments humides en live.
The Geeks and The Jerkin’ Socks se clôt sur deux duos : Old School Rocka et ses parties de guitare très heavy, invite le rappeur Beat Assailant. Quand à Palabra Mi Amor, c’est un Bertrand Cantat version punk qui l’habite. Le chanteur de Feu-Noir Désir prend la tête du combo pour un morceau à 100 à l’heure. Il y a fort à parier que ce duo offrira un quart d’heure médiatique au groupe.
Shaka Ponk – Let’s Bang
Discographie
Shaka PonkShaka Ponk multiplie les sources pour aboutir à un album à parts égales électronique, électrique et organique. Le son est massif et l’énergie de ce troisième album reprend la formule développée par Shaka Ponk depuis deux album : une fusion electro rock protéiforme qui parle aux pieds.
On retrouvera Shaka Ponk pour la deuxième année consécutive sur l’une des scènes des Solidays, en juin dans une Cigale déjà sold-out et en Novembre au Zénith.
mouai let’s bang est pas top … ça fait un peu du » stop the bot » réchauffé … neanmoins l’article me donne envie d’ecouter le reste … un peu
Sympa à regarder en concert, un peu répétitif dans le son…
Très sympa cette critique, ça donne vraiment envie d’écouter le CD. Shaka Ponk se donne tout pour réussir, autant en live qu’en CD, même si les avis divergent sur cet album