Fred 11 Nov 2011
Brodinski
Louis Brodinski nous balade dans son mix pour le méga-club de Charterhouse Street entre minimale moite, techno rugueuse, house handbag (arrgghhh), acid arabisante, R’n’B déviant et autres réjouissances. Ce n’est pas révolutionnaire, ça reste entraînant et suffisamment drogué pour vous donner des fourmis dans les jambes et vous fera passer un bon moment. On retrouve Brodinski lui-même, Clement Meyer, le Jeff Mills blanc Samuel L. Session, Gesaffelstein… En revanche je ne sais pas ce qu’est la backroom music, si quelqu’un peut m’éclaircir, je suis preneur.