Guimauve 14 Mar 2016
On avait quitté Emilie en Ardèche avec Mothers & Tygers où elle avait croisé Camille, David Ivar d’Herman Dune, Lhasa et surtout William Blake.
Quelques gouttes de piano et la terre se noie. Emily Loizeau vogue sereine sur des eaux sombres, premier titre de Mona à paraître en mai mais jamais rien ne l’empêche, Loizeau… d’aller plus haut. Elle invente, non elle conte « l’histoire de son grand-père. Il a eu 100 ans cette année et je m’interrogeais sur la façon de conserver les traces d’une vie aussi extraordinaire que la sienne, sur la façon de parler de cette foi en la vie qui pousse à enfanter en temps de guerre. Le projet est donc né de cette histoire familiale, mais aussi d’une colère personnelle que j’ai eu envie de transformer. » avoue t’elle à Libération.
Emily Loizeau – Eaux sombres
Discographie
Emily Loizeau