Jean Baptiste Soulard et les Palatine ont installé leur local de répétition dans le bayou. Ils ont croisé dans les méandres du Mississippi des fantômes qu’ils ont capturés pour les faire jouer dans le joli clip de Baton Rouge réalisé par Vincent Ehrhart-Devay.
Commet le groupe s’est formé ?
Jean Baptiste : Le groupe s’est formé en 2014 quand j’ai rencontré Vincent Ehrhart Devay (ex Horla patrie). Sont ensuite venu se greffer l’ancien contrebassiste d’Horla patrie, Adrien Deygas puis Toma Milteau à la batterie.
Discographie
PalatinePourquoi avoir appelé votre Ep Baton Rouge ?
Jean Baptiste : Baton Rouge est un terme un peu carrefour des imaginaires, Baton Rouge c’est d’abord une ville de Louisiane qui oriente le propos vers une musique d’essence folk. Le baton rouge ce peut être aussi cet précieux outil de maquillage pour parachever les habits de lumière de l’univers de Palatine.
Vous étiez en première partie de Feu ! Chatterton. Comment vous êtes vous retrouvés dand cette aventure ?
Jean Baptiste : Pour ce qui est des premières parties de Feu! Chatterton, on a rapidement eu le soutien de quelques pros dès la sortie de notre Session Pigalle, Cécile Moreau entres autres de chez Uni-t et Pascal Stirn qui nous a programmé en première partie des Feu à l’EMB de Sannois. Depuis une belle histoire d’amitié s’est nouée avec les Feu! Chatterton. On aime beaucoup leur musique et cela semble réciproque de leur côté, nous avons refait deux autres premières parties au Trianon et une récemment à Béthune.
Et pourquoi ce nom Palatine ?
Jean Baptiste : Palatine est ce qui fait référence justement au palais, à un certain caractère précieux, la galerie Palatine à Florence, sans doute pour mettre en exergue le caractère sensible de notre musique.
Si tu devais définir ta musique avec un seul mot, lequel choisirais-tu ?
Jean Baptiste : Apparat.
Palatine – Baton Rouge
Baton Rouge de Palatine sera publié le 28 octobre 2016.