Produit par Chris Kimsey (Rory Gallagher, The Rolling Stones) et accompagné par ses deux fils (Peter Jr à la basse et Jamie à la guitare), How The West Was Won est un disque extrêmement classique qui va puiser ses guitares et son chant dans la discographie du Velvet Underground. Après avoir fait passer Richards pour l’Archevêque d’Angleterre, Perrett réussi à faire passer Jason Pierce (Spiritualized) pour la Reine d’Angleterre.
Peter Perrett – An Epic Story
On tombe dans ce disque comme Perrett est tombé dans l’addiction. Il la chante d’ailleurs formidablement bien (Something In My Brain). Les guitares à la Sweet Jane et le phrasé nasillard de ce londonien rendent ce disque extrêmement séduisant. Comme Peter Milton Walsh sur No Song, No Spell, No Madrigal (Microcultures – 2015), Perrett ne triche pas et a des choses à dire. En vieux briscard, le londonien le fait de manière fort élégante (les chœurs de Hard To Say No pour ne citer qu’eux).
Et après avoir commencé cette chronique par un emprunt, nous finirons par une banalité : ce qui ne tue pas, rend plus fort. La preuve avec Perrett…
Peter Perrett - How The West Was Won
La chronique du The Hirish Times est disponible ici.
How The West Was Won de Peter Perrett est disponible via Domino Records.
- How The West Was Won
- An Epic Story
- Hard To Say No
- Troika
- Living In My Head
- Man Of Extremes
- Sweet Endeavour
- C Voyeurger
- Something In My Brain
- Take Me Home