Jour 1
Jolie découverte du premier soir à la Boule Noire, le groupe allemand Woman et son rock aux accents funky vraiment plaisants a bien démarré les festivités sur les coups de 19h30. Un peu arrivés ici par hasard en croyant aller voir Delv!s (à la même heure, mais le lendemain), on retrouve bien là le charme du MaMa : de la découverte pure et dure qui fait du bien et attrape dès le premier titre ! Groupe à suivre.
Woman – Marvellous City
Après un passage par le Carmen pour aller voir l’incendiaire Flèche Love, c’est la soirée des Inouis au Backstage by The Mill qui a retenu notre attention en ce premier jour. C’est tout d’abord Eddy de Pretto qui a enflammé la scène du Backstage, du peu qu’on a pu en voir, vu la densité de la foule qui se pressait devant et à l’intérieur de la salle. Eddy, c’est définitivement le nouveau phénomène qui attise la curiosité, et pour cause, il a une prestance étonnante et tout à fait unique.
Eddy de Pretto – Kid
Mention spéciale également pour le live très rock de Lysistrata qui a tout envoyé valser avec puissance, un concert toutes griffes dehors comme on on ‘en voit peu dans ce genre de festival, et cela faisait du bien. Dans un autre style avec des sonorités plus rétros, les très bons Théo Lawrence and the Hearts ont clôturé la soirée et ravi le public.
Jour 2
Le jeudi a très bien débuté avec (cette fois-ci pour de bon) Delv!s , projet funky aux allures de gang de choristes, qui occupait l’espace de la scène de la Boule Noire avec véhémence, pendant que le public déjà très motivé pour l’heure, se déhanchait sur les beats, les basses et les vocals puissants.
Delv!s – Sunday Interlude
Le duo ALB, dont on avait dit tout le bien il y a peu s’est également très bien défendu sur la scène de La Cigale, balançant d’étonnants et détonants visuels sur leurs écrans, donnant à leur prestation scénique une dimension de voyage au cœur du virtuel.
Alb – The Less I Know (The Better)
Passage au Carmen pour aller voir l’intrigant Chelou dont le titre Halfway to Nowhere avait fait pas mal parler de lui. Univers intéressant et planant, Chelou a su nous emmener dans les nuages grâce à son live à mi-chemin entre la douceur de la guitare acoustique et la puissance des notes électroniques.
Chelou – Halfway to Nowhere
Jour 3
Coup de cœur du dernier jour, le multi-instrumentiste VOYOV dont la french pop frappe fort, entre nostalgie, poésie et rébellion, pour une recette pétillante à souhait. Sans oublier Mat Bastard, dont on ne présente plus les lives rock et provocants, avec un public toujours à fond dedans !
VOYOV – On s’emmène avec toi