Blondino en cinq questions
Ton souvenir de concert ?
Un concert d’Anna Calvi au Trianon. Assez timide, assez statique, mais hyper puissante. Une vibration très forte.
Ta rencontre marquante en tournée ?
Une fille de 16 ans, à Mâcon en première partie de Julien Doré. Elle avait acheté un T-shirt blanc et avait brodé à la main Jamais sans la nuit. Sa mère pleurait, en me disant combien j’aidais sa fille. Ça m’a beaucoup touchée.
Ton anecdote dans le van ?
Il n’y a pas de van chez Blondino.
Ton nouvel album en quelques mots ?
Dans la continuité du premier, en ce qui concerne l’exploration des sonorités. Des textes universels, avec un angle original. Il sera très affirmé et très libre, sans compromis. Lumineux, je crois… La pensée qui a guidé l’écriture de cet album est de Édouard Glissant : « L’utopie, ce n’est pas le rêve. Elle est ce qui nous manque dans le monde ».
Ton prochain rêve ?
Je ne sais pas. Ou plutôt pas encore. Pour cela, il faudra attendre demain matin. Je te dirai ça à mon réveil !
Blondino – Le Silence
La playlist de Blondino
En écoute avec Blondino
En écoute avec Blondino
En écoute avec Blondino
Parce que c'est simplement magnifique. Indépassable.
Parce que petite, quand j'entendais ce titre, à la place de « connaît pas la crise », j'entendais « couler ma cerise » ! Quand tu comprends le sens de la chanson, plus tard...
La petite mélodie du bonheur.
Parce que mon père avait le disque Live At The Roxy, elle ouvre cet album, et je l'ai beaucoup, beaucoup écoutée.
Libre.
Je l'ai beaucoup écouté, lorsque je travaillais sur mon album Jamais sans la nuit.
Il s'agit de la chanson que je préfère dans son premier album. Elle me touche beaucoup. La mélodie est belle.
Chanson de l'été, elle me met en joie.
Une amie. Ma chanson préférée de son second album. Une grande sensibilité.
Un monument.
En boucle.
En attendant son prochain album, Blondino sera cet automne en ouverture de La Grande Sophie le 11 octobre à Rouillac (La Palène), le 12 octobre à Lons (Espace James Chambaud), le 7 novembre à Bordeaux (Rocher de Palmer), le 8 novembre à Rennes (Le Grand Logis) et le 9 novembre à Brest (L’Avel Vor).
Plus d’informations sur Blondino sur sa page facebook.