Il y a des disques qui vous font de l’œil et ici c’est celui d’un cheval en gros plan sur la magnifique pochette de ce premier album de Bonny Light Horseman. Coquin et frondeur, c’est une invitation à monter a cru et à chevaucher le meilleur de l’Americana. Le trio redonne vie aux classiques du folk traditionnel avec en prime la participation de Justin Vernon qui a permis au groupe de jouer dans son festival Eaux Claires et d’enregistrer ses premiers titres. « Nous voulions retravailler de vieilles chansons, mais pas dans le cadre d’un projet de recherche. C’était très réconfortant de se plonger dans ces vieilles histoires et ces images qui existent depuis si longtemps qu’on peut s’y reposer. » dit Anaïs Mitchell. Eric D. Johnson poursuit, « ce disque évoque l’humanité intemporelle, ces paroles vieilles de 500 ans sont si profondément modernes. The Roving pourrait être l’intrigue d’un film pour ados des années 80 : J’ai passé un été sauvage avec cette fille géniale, puis elle m’a brisé le cœur ! À quel point est-il incroyable qu’en tant qu’êtres humains, nous voulions toujours simplement aimer et avoir des rapports sexuels, nous sentir tristes et nous battre ? C’est de la musique ancienne qui se sent, émotionnellement, en ce moment. C’est complètement moderne. »
Bonny Light Horseman – Deep in Love ‘(Saturday Sessions)
Bonny Light Horseman – Jane Jane
Bonny Light Horseman – Live in Studio
Bonny Light Horseman - Bonny Light Horseman
- Bonny Light Horseman
- Deep In Love
- The Roving
- Jane Jane
- Blackwaterside
- Magpie's Nest
- Lowlands
- Mountain Rain
- Bright Morning Stars
- 10
- 000 Miles