Pendant que beaucoup rêvent d’horizons lointains, de grand air ou de terrasses bondées, d’autres voudraient garder pour eux seuls ce bijou pop qui à lui seul vous oxygène le cœur avec sa guitare cristalline et sa mélodie du bonheur. Une violente caresse qui nous fait onduler, dodeliner, palpiter. Voilà une chanson qui nous enivre et nous grise délicatement jusqu’à l’incandescence. Et plus que jamais, « il faut laisser le passé dans l’oubli et l’avenir à la providence. »
« Je voulais plus de réverbération et d’écho dans le son, je voulais également des textures plus synthétiques, gagner des territoires que je n’avais pas encore complètement explorés mais qui feraient sens. Je voulais aussi que ma voix soit plus proche que jamais. Le disque que j’imaginais était un disque synthèse et en écho à mes précédents mais dont la vocation serait d’ouvrir une fenêtre et de voir un peu plus loin. Ce nom, Providence, désigne un peu tout cela. La direction d’ensemble s’est fixée autour de cette chanson et a donc naturellement donné son titre à l’album. Je rêvais depuis longtemps de réunir les guitares soyeuses de Harry Nilsson, les claviers lunaires de Broadcast et les rythmiques chaudes et chaloupées de la musique africaine dans une seule chanson, Providence m’en a donné l’occasion. Cette chanson parle de métamorphoses et les derniers mots résument parfaitement la trajectoire de l’ensemble du disque : Parfum de nouveauté sur de vieux sentiments. »
Discographie
ChevalrexChevalrex – Providence
Pourquoi forcer face à des portes closes
Il y a des voix qui indiquent autre chose
Architecte naïf dans une vaste plaine
Où tout déborde de colère, de haineParle moi de métamorphose
De forces qui décuplent les soirs de lune rose
Le vin que l’on boit pour les arbres dansent
Se mélange à nos corps comme la providenceLorsque tu bouges et que tout bouge autour de toi
Les heures rouges, de ton enfance reviennent
là comme je bouge, lorsque tout bouge autour de toi
Un ciel rouge et inconnu s’ouvre à moiEn un instant j’ai su que c’était toi
La pluie de sirocco venu d’un pays froid
L’horizon ce décor facile en apparence
Se mélange à nos corps comme la providenceLorsque tu bouges et que tout bouge autour de toi
Les heures rouges, de ton enfance reviennent
là comme je bouge, lorsque tout bouge autour de toi
Un ciel rouge et inconnu s’ouvre à moiOù est la fille que mes parents voulaient
Je suis l’ombre du feu sur un mur projeté
La lueur d’incendie dans un appartement
Parfum de nouveauté sur de vieux sentiments
Plus d’informations : www.chevalrex.net