AbEL K1 en cinq questions
Un album à faire écouter à un fou ?
Autorisation de délirer, l’indépassable album d’Hubert-Félix Thiéfaine.
Une chanson pour les amours fous ?
You got it, de Roy Orbison. Une chanson aussi dynamique et sensuelle que l’amour fou.
Un livre sans camisole ?
Histoire de l’œil, de Georges Bataille. Une histoire transgressive qui se déploie sans que l’on sache à quoi s’attendre d’une page à l’autre.
Une peinture pour perdre la boussole ?
Le blé sera rouge cette année, de Stani Nitkowski. C’est une œuvre qui déconcerte, peinte en 2000, un an avant le décès de l’artiste à l’âge de 51 ans. J’ai rencontré ce peintre étonnant en 1993 et j’en ai gardé un souvenir marquant.
Un film pour la retrouver ?
Senses, de Ryusuke Hamaguchi. Après avoir vu ce film fleuve au cinéma, je suis sorti des séances avec une sensation de bien être d’une intensité que j’ai rarement connue.
L’album éponyme d’AbEL K1 sortira le 19 mai sur le label Icône Music.
AbEL K1 – Prélude (à la folie)
La playlist d’AbEL K1
Mes premiers émois rock
Mes premiers émois punk
Le temps suspendu et l’ultime chant
Mes premiers émois Blues-Rock avec le chant écorché de Bon Scott
La poésie chantée comme jamais avant lui
La sublime voix de Chrissie Hynde
La puissance de feu de la pop anglaise sombre et lumineuse à la fois
La pop psychédélique anglaise à son apogée
La violence de sentiments portée par la voix masculine la plus douce et la plus sensible qui fut
Un rock irrévérencieux porté par le surprenant chant, totalement libre, rageur et sensuel d’Elias Bender Rønnenfelt