Un grand barnum donc, une communion interactive avec un Chris Martin bondissant, aux couleurs de la France (l’avant veille aux couleurs allemandes, dimanche prochain autrichiennes, etc.) et pas moins de trois scènes pour trois ambiances. Une camera virevolte dans les cimes pour capter chaque pose du Chris (t) enluminé et la scène ronde se transforme en un puits de lumière. La tête remplie de rêves un peu simplistes, Coldplay fait le job, enquille les hou hou et les doo doo (doudous ?). On envoie des bisous à Manchester, Paris et Téhéran et est-ce peut être les flashs lumineux qui atteignent le cervelet ou la démesure du parc OL, on se met à rêver d’un Philippe Katerine en legging virevoussant et lançant ses propres bisous. Mais don’t panic, on reprend vite ses esprits, vive la vie dans un ciel plein d’étoiles, pour le public c’est magic, il est au paradis quand Chris « improvise » une chanson en français. Le bonheur est dans le stade, cours y vite, cours y vite, le bonheur est dans le stade, cours y vite il va filer.
Setlist
O mio babbino caro (Maria Callas)
A Head Full of Dreams
Yellow
Every Teardrop Is a Waterfall
The Scientist
God Put a Smile Upon Your Face
Paradise
Scène B
Always in My Head
Magic
Everglow
Scène A
Clocks
Midnight
Charlie Brown
Hymn for the Weekend
Fix You
Viva la Vida
Adventure of a Lifetime
Scène C
Kaleidoscope
In My Place
Don’t Panic
Lyon Song
Scène A
Something Just Like This
A Sky Full of Stars
Up&Up