Sortie d’isolement pour Ondara avec Mr. Landlord, le dernier morceau a être somptueusement mis en images, extrait de son Folk N ‘ Roll Vol 1 : Tales of isolement.
Bientôt la rentrée et Ondara a toujours le blues. Mais point de visages émaciés ou de danses de Saint Guy pur cette avant dernière vidéo parisienne mais des chats qui ont peut être soufferts de la présence continuelle et envahissante de leurs maîtres.
Dans l’onde d’Ondara, la solitude est limpide et paisible. Pourtant, Pulled Out Of The Market peut s’écouter comme une belle métaphore de la rupture ou de la mise au rebut.
Ondara à Bali. Notre reporter folk de l’intime cloîtré poursuit la déclinaison de son Tales of isolement avec la douceur d’un noir et blanc et les gestes délicats et gracieux du jeune chorégraphe Lalu Indra Jaya Pratama.
“La distance grappille le temps.” écrivait Eugène Guillevic. J.S. Ondara poursuit son voyage intérieur dans le Sussex en chantant cet écartèlement imposé durant ces mois suspendus où il était parfois impossible de serrer l’autre dans ses bras.
Direction Brooklyn pour la suite de l’aventure intérieure de J.S. Ondara avec Isolation Depression Syndrome, sans doute le titre le plus poignant extrait de Tales Of Isolation.
On poursuit notre voyage en visages avec J.S. Ondara avec un nouvel extrait de son album Tales Of Isolation qui passe cette fois-ci par Tokyo avec l’a cappella Shower Song, miroir de nos âmes tourmentées.
Nobody wins in war. J.S. Ondara avec cette Ballad Of Nana Doline prend des accents du Boss façon The river mâtiné de Born in the USA.
Après Los Angeles, Melbourne, Madrid, le stratosphérique J.S. Ondara nous emmène cette fois sur les hauteurs de Bogotá.
Le Zim nous offre un nouvel album, Rough and Rowdy Ways, le premier original et magistral en 8 ans et il continue d’influencer des centaines d’artistes dont le flamboyant J.S. Ondara qui vient de sortir Folk N ‘ Roll Vol 1 : Tales of isolement écrit en quelques jours de claustration.
C’est un conte contemporain ou plutôt une histoire de conviction. De Nairobi à Minneapolis, au plus près de son idole Dylan, aux Etats-Unis, J.S. Ondara veut vivre son ‘American Dream’ sur cette terre de liberté. Cruelles et infâmes désillusions depuis quelques jours.