La chanteuse franco-camerounaise Célia Kameni et le britannique James Blake ont caressé de leurs voix les antiques pierres du théâtre aux Nuits de Fourvière sous l’œil câlin de Kymmo.
On pourra crier au génie à l’écoute de la musique de James Blake ou bien au contraire crier à l’imposture. C’est selon… Ce qu’on ne pourra retirer à l’Anglais c’est de bénéficier d’une solide culture musicale. En effet, « Klavierwerke » nous apporte des réminiscences de Debussy, Burial, Kid 606 voire Ravel.
Qu’importe les ‘ronchondoillons’, le TINALS demeure le festival indé incontournable du début de l’été. Malgré le succès et les tentations que cela aurait pu entraîner, ce festival a conservé sa philosophie exprimée dans sa profession de foi : « une programmation dictée uniquement par les coups de cœur dans un cadre verdoyant. De la musique avant […]
Il aura été une des sensations de 2011 pour beaucoup, James Blake avait repris Feist, collaboré avec Bon Iver, était nommé pour le Mercury Prize comme Antony Hegarty en 2005 mais ne l’a pas eu, le clip de sa reprise du standard de Joni Mitchell avec Rebecca Hall fait se pâmer la planète musicale.
Le cheval n’est pas mort, il n’a pas encore livré sa dernière course. Après une pause de plusieurs années me semble-t-il R&S Records est venu se rappeler à notre bon souvenir. Ces derniers temps ont vu fleurir des rééditions bienvenues, Derrick May, Aphex Twin, Model 500 et certains vinyles sont encore pressés. Renaud et Sabine […]
3,5/11*. Non je ne me suis pas mise soudainement à noter les albums que je chronique. Mais si je jouais à la maitresse de classe, je pourrais annoter son bulletin comme suit: L’élève Blake est appliqué, studieux, mais n’arrive pas toujours au but. Doit poursuivre ses efforts.