Après avoir croqué Odile, Louis Arlette portraiture un Amsterdam loin des clichés touristiques.
Allitérations et jeux de mots. Louis Arlette fait sa starlette à Rome après avoir chanté Ronsard et croque Odile avec malice.
On a bien besoin de blanc et de bleu, de lumière éclatante, de roulis de bateaux, de cris d’oiseaux, de nage en eaux profondes, de liberté en quelque sorte.
Louis Arlette a toujours le sourire carnivore. Avec Des ruines et des poèmes, il se mesure aux plus grands avec un deuxième disque d’une terrible beauté cathartique où il nous balade (sans pendus) le long de ses chemins tortueux. On pense aux contrastes d’un peintre qui « était venu pour détruire la peinture » ou à la […]
Chanter les classiques de la poésie française n’est pas neuf, des Frères Jacques à Yves Montand, de Brassens à Ferré en passant par Ferrat, Murat ou Ridan avec Du Bellay. Louis Arlette apporte sa french touch de fraîcheur avec À son âme, poème ironique et lucide sur l’imminence de la mort que Ronsard a écrit […]