Quilt est un groupe de Boston et vient de publier son troisième album intitulé Plaza. Anna Fox Rochinski, Shane Butler, Keven Lareau et John Andrews sont de parfaits petits américains qui savent réciter leurs leçons apprises en écoutant Pavement et Elastica.
Votre été manque de lumière ? les radieux Woods éclairent ce mois d’août lunatique de mélodies rayonnantes comme sur ce New Light. Un road trip entre Tennessee et Californie plein de byrds, de sun, de flowers.
Deux nouveaux titres disponibles pour la Woods family après Between the past et l’instrumental White Winter Melody.
Jeremy Earl et ses Woods sont de retour avec Strange Explain, leur onzième album. Et bonne nouvelle, ce disque est meilleur que le dixième. Dixième album qui était meilleur que le neuvième. Neuvième album qui était meilleur que le huitième…
Il y a des disques auxquels on ne croyait plus. Celui des Purple Mountains est de cette trempe. David Berman, qui avait tiré le rideau des Silver Jews en 2008 revient avec un nouveau nom, des nouveaux musiciens et toujours les mêmes états d’âme. Et c’est foutrement jouissif.
Après avoir réuni Weyes Blood et Ariel Pink le temps d’un EP (Myths 002), le festival californien Marfa Myths a enfermé les Suédois de Dungen et les Américains de Woods dans un studio. Le résultat de cette résidence s’appelle logiquement Myths 003 et sera le disque parfait pour célébrer le retour du printemps.
Avant de ressembler au Laurel Canyon grâce au set des Woods, La Lune des Pirates a été le théâtre d’un moment de communion entre House of Wolves et le public.
Jeremy Earl, le patron des Woods est un acharné. Il a attendu la publication de son quatrième disque pour attirer l’attention des médias et a décroché ce qu’il est convenu d’appeler du succès avec City Sun Eater in the River of Light, son neuvième album.
C’est à l’écoute des premières notes de Moving to the left, qui annonce la fin de la SIDE ONE de With light, With love, l’avant dernier vinyle des Woods, assise dans mon salon devant une fenêtre ouverte sur la pluvieuse grisaille parisienne, que je commence à écrire cet article.
Dans la vie, il faut aimer son papa comme sa maman. Hier nous avons parlé de Kevin Morby. Aujourd’hui nous évoquerons les Woods, l’ancien groupe de Morby.