Presque 10 ans après le divorce par consentement mutuel de Supergrass, Gaz Coombes et Danny Goffey nous offrent chacun un disque solo à un mois d’intervalle. Apres avoir laissé parler Gaz, place au batteur de Supergrass qui passe du fond de la scène au devant. Et Schtick !
Fred — 351 contributions
Je me souviens d’une fois où je trainais nonchalamment dans un de ces magasins de soldeurs de disques CD et vinyles et j’étais tombé sur la discographie quasi-intégrale (à l’époque) de Prince.
Les temps changent, la musique aussi.
C’est le truc le plus viral de l’été, tout le monde s’excite car a été vu dans le ciel de Londres un ballon dirigeable avec juste l’indication « 2014 » et le logo bien connu. Logo repéré aussi apparemment sur les trottoirs de New York et Los Angeles en attendant ceux de Paris ??
Bon c’est clair, ces deux là ne gagneront jamais le prix du nom de groupe le plus original mais au moins il n’y a aucun doute sur leur provenance. La house de la côte ouest n’a jamais beaucoup fait parler d’elle, il y a bien eu quelques groupes de San Francisco qui sont sortis du […]
Le syndrome Redshape a encore frappé chez nos amis d’outre-Rhin où le dernier en date fait très fort en apparaissant pour Boiler Room avec une queue de cheval (?) pour masquer son visage. Le centaure sans visage nous propose, ça aussi ça devient une habitude chez les Allemands, une techno indus ni pire ni mieux […]
Luke Hess est son pote depuis qu’il a intitulé un de ces disques « Michigan Central Sation E.P. », Omar S est aussi mon pote depuis que je l’ai vu poser devant sa nouvelle voiture. Mes deux potes ne pouvaient que se rencontrer et s’apprécier.
Red Hot Organization a pour mission de combattre le HIV à travers la culture et réalise depuis plus d’une vingtaine d’années des compilations à thèmes.
Quelle bonne idée a eu le label Daylight Curfew de fêter le 4 juillet à sa façon.
Cet E.P. sorti début 2014 se trouve maintenant accompagné d’une vidéo montrant Gehrik et Jade dansant sur les ruines de Detroit, une fois de plus, sur la rythmique syncopée et destructurée de « Footwork ».
Après une première partie déjà sortie chez Rush Hour Records en 2010, Rick Wilhite continue de nous délivrer ce qui représente le mieux trois villes américaines à l’origine de la techno et de la house selon ses propres dires.
Joey Negro, le natif de l’île de Wight est présent sur la scène house depuis la fin des années 80. C’est un fin connaisseur de disco, de soul, de funk et en ce mois de juin il compile sa collection personnelle de deep-house transalpine.
Il nous avait prévenu Alex « Omar » Smith qu’il allait sortir plusieurs compilations de son label FXHE qui fête cette année ses 10 ans.
Carrément énervé par tous les commentaires négatifs dont Detroit est la cible ces derniers mois plus que jamais. Mike Banks décide de donner une suite au track « Abandoned Building (In Mono) » paru il y a déjà dix ans.
C’est l’histoire d’un disque qui n’existe pas ou presque. Selon la légende aphextwinesque il n’aurait été gravé qu’à cinq exemplaires.
C’est donc Will Saul qui assure la dernière livraison de DJ Kicks pour le plus grand plaisir des oreilles en mal de douceur et d’intelligence sonore.
Pour tous ceux qui l’auraient un peu vite oublié, l’entité crépusculaire Plastikman existe toujours. Richie Hawtin nous le rappelle avec son nouvel L.P. « Ex » qu’il a d’ailleurs déjà mis en ligne sur youtube étant donné que l’album a déjà fuité et est disponible gratuitement un peu partout.
Le Weather Festival s’est clôturé d’une bien belle manière, du moins musicalement, pour les marathoniens de la techno (dans son acceptation large) ce lundi dans le pas très glamour Parc de l’Île Seguin.
Grosse soirée en perspective pour le week-end de la Pentecôte puisque ce sont plus d’une centaine d’artistes qui seront présents pour le Weather Festival les 6, 7, 8 et 9 juin dans trois lieux différents.
Je m’attendais bien un jour ou l’autre à voir le mythique et grandiose album de Fingers Inc. réédité. En revanche je pensais que ça se ferait du côté de l’Europe et non pas du Japon. C’est donc le label P-Vine actif depuis 1975, plutôt spécialisé en raretés blues, garage punk, latin music, funk et jazz […]
Il y a bien longtemps qu’on n’avait pas eu de nouvelles de celui pour qui toute la planète techno s’était mobilisé il y a quelques années suite à l’infâme cover pondu par Sony sans bien sûr demander l’autorisation à Mad Mike Banks, l’âme d’Underground Resistance. Il parait que les boîtes mails des dirigeants de Sony-BMG […]
Il faudra bien qu’un jour un musicologue se penche sur les raisons obscures qui propulsent la Norvège à l’heure actuelle et ce depuis quelques années comme le centre de gravité de ce que l’on peut appeler la nu-disco ou norvegian disco au choix. Vous quand on vous dit « Norvège », vous pensez immédiatement à ça ? […]
Avec sa basse toute droite sortie d’une session à Kingston nul doute que « Trans-Jungle-Ride » a fait les beaux jours des danseurs extatiques en pleine descente, de préférence aux lueurs blafardes du jour naissant.
Oliver Bondzio et Ramon Zenker se réveillent d’un long sommeil en ce début d’année 2014 et nous offrent « The Art Of Acid » afin de se rappeler à notre bon souvenir et nous signaler que malgré les années qui passent ils sont toujours là.
C’est une sale blague que nous fait Frankie Knuckles en ce jour des poissons…
Il y avait un certain temps que les joyeux drilles de cette riante cité qu’est Sheffield n’avait pas accouché (dans la douleur certainement) d’un remix.
Omar S, le gars qui ne sait pas ce qu’est un podcast, qui adore le mot « shit », qui joue à un jeu d’arcade nommé « Robotron » et à qui il faut écrire personnellement quand on veut commander un disque de son label nous fait un beau cadeau avec un compilation pour célébrer les dix ans de […]
Encore une reissue d’un vieux disque oublié sorti en 1990 chez Rush Hour en ce début d’année. L’oublié Mustafa Ali revient donc faire un tour dans nos oreilles plus de 20 ans après.
Finalement par un juste retour des choses, la perfide Albion prouve qu’elle est encore une des contrées reines en matière de techno ces derniers temps, et ce n’est pas le dernier album de Perc qui nous démontrera le contraire.
L’eschatologie traite de la fin des temps, de l’âme après la mort et de ce genre de choses réjouissantes parait-il. Quoi de plus normal de retrouver sur un thème aussi gai et entrainant l’un des Ancient Methods donc.