Elles ont annoncé la couleur dès les premières notes.
Quand je pense à Fernande
Jean-Louis Aubert, solaire, seul mais pas solitaire, et surtout solidaire du monde, et de la vie. Une parenthèse enchantée d’un soir d’été, à Sète, un balcon sur la mer.
Un lit de cordes comme un début de symphonie, celle du cœur, d’autres pour emprisonner ou plutôt encorder esthétiquement, entre acrobatie et méditation, inspiré par le Shibari des Samouraïs au XVème siècle.