Nick Wheeldon nous offre un deuxième titre avant la sortie de Gift son deuxième album le 4 novembre chez le Pop Club Records. No One’s, Never est à écouter souvent.
Folk - page 5
Le barde bardu pas barbant Will Sheff s’est éloigné d’Okkervil River mais pas des rives du folk luxuriant de simplicité avec Nothing Special qui donne son titre à son premier album solo le 7 octobre 2022 chez ATO.
Please Send To J.F. ouvre l’album qui rend hommage au guitariste John Fahey. José Medeles précise qu’il ne s’agit pas d’un disque de « reprises », mais d’un « coup de chapeau » à un musicien, écrivain et artiste avant-gardiste.
« L’amour fait songer, vivre et croire » écrivait Victor Hugo dans Les Contemplations. Alela Diane nous tend un miroir avec son nouvel album à paraitre à l’automne chez Believe / Naive.
Pendant que certains insouciants égoistes se ruent à la plage ou profitent de leurs piscines de lotissements pavillonnaires, d’autres luttent pour sortir des ténébres.
Avec plus d’une vingtaine d’albums, Andrew Bird continue de se réinventer en creusant dans son dernier album, Inside Problems les affres de son intimité.
Paint the town est le premier extrait du deuxième album solo de Nick Wheeldon à paraitre chez Le Pop Club Records le 4 novembre
Tempête de douceur. C’est toujours la même histoire, on a besoin souvent de se ressourcer et pour cela jouer les anachorètes. Est-on seul à ressentir la froidure des relations humaines ? à partir en quête d’un ailleurs rassurant ? d’un alter ego conciliant pour atteindre équilibre et plénitude, into the wild.
Embarquez sur le Dream Boat Jane de Gunwood le mardi 7 juin au New Morning pour partager un peu de liberté.
Non, Le Goût de l’Orge n’est pas une ode aux buveurs de bière. Et pourtant. On se fabrique parfois du chagrin après quelques pintes.
Tout le monde connait Adam Green avec Kimya Dawson, et le Anyone Else But You des Moldy Peaches. C’était le temps béni du D.I.Y, le vrai, pas celui des rutilants home studios d’aujourd’hui. En 2007 ce titre figure sur la bande originale de Juno avec Michael Cera, Ellen Page et le désormais terrifiant Jason ‘Marty […]
Sur cette colline, il y a une maison. Celle que Mikael Cointepas a construite autour des textes du poète américain Edwin Arlington Robinson, trois fois prix Pulitzer de poésie (1922, 1925, 1928).
Attention, concert bouleversant. Si vous n’avez pas honte d’être ému en public alors J.E. Sunde et ses 9 Songs About Love risquent de titiller vos glandes lacrymales. Avec sa voix venue d’ailleurs posée sur quelques accords, ses chansons qui rappellent que l’amour est fragile et douloureux, J.E. Sunde vous paralysera par cette beauté des gens […]
On n’en peut plus d’attendre Rodrigo Amarante. Il avait déjà cavalé à l’Épicerie Moderne en 2014, il revient le samedi 23 avril et là c’est le drama !
Tilmann sort de sa Chrysalis avec un EP composé de six titres désormais à quatre.
Sa voix vous caresse et vous emporte malgré sa mélancolie vers un ailleurs douillet, sensible et poétique. Chaque concert est un enchantement comme celui mémorable au Marché Gare en 2017 avec des clarinettes suaves et rieuses. C’est l’Epicerie Moderne qui accueille enfin le mardi 19 avril cette date reportée deux fois.
Emily Jane White déclare sa guerre avec un nouvel album, Alluvion disponible depuis le 25 mars chez Talitres.
Phosphorescent reprend I’m a Mess de Nick Lowe et Bad News from Home de Randy Newman.
Emily Jane White déclare sa guerre avec un nouvel album, Alluvion à paraitre chez Talitres le 25 mars. Vous pourrez l’entendre en avant première le 17 mars à l’ECFM de Canteleu près de Rouen en compagnie de l’encourageant Troy Von Balthazar malgré le ténébreux Black Black extrait de son récent Courage, mon amour ! disponible […]
On avait découvert cette voix sublime avec une invitation, Go on / Move your body. On avait évoqué Duras en écoutant la première fois son formidable Optimism. On revient sur ce disque qui depuis ne quitte plus nos oreilles et notre cœur de midinette.
God is a concept by which we measure our pain chantait Lennon. Emily Jane White évoque son combat intime avec Show Me the War, premier extrait de son septième album Alluvion à paraître le 25 mars chez Talitres.
Tiny Shuttle anciennement Yannick Owen prend la route et nous propulse dans les Alpes entre mythe et enfance.
Ouvert pour cause de communion, La Maison Tellier revient aux sources avec un septième album et un second souffle, ample, épique, homérique.
L’épicerie moderne accueillait un brelan d’as avec Raoul Vignal, Thousands et Maxwell Farrington & Le SuperHomard pour fêter les 20 ans de Talitres sous la lentille amicale de Fabrice Buffart.
Si vous aussi vous avez besoin de calme, de délicatesse, d’apaisement, alors ces trois titres sont faits pour vous.
Croire ou ne pas croire. Et en quoi. La Jordanie comme purgatoire en attente du renouveau ? Jana Horn avant les trompettes de la renommée fait résonner son cor(ps) et son cœur pour mieux étreindre les nôtres.
Chronique croisée d’un premier amour, celui qui marque au fer rouge, qui tsunamise le cœur quand il s’évanouit, mirage affectif idéalisé.
Barn est le quarante et unième album de Neil Young. 41ème ! Pendant que d’autres peinent à éjaculer 10 chansons tous les 5 ans, Neil n’a pas besoin de se mettre à genoux pour nous enfoncer en intraveineuse une aiguille folk militante indispensable.
De la couleur avant toute chose. C’est amusant pour une carte blanche. Bertrand Belin et La Féline ont invité The Colorist Orchestra avec Howe Gelb puis la joueuse de oud syrienne Waed Bouhassoun, en duo avec le virtuose du ney Moslem Rahal.
Les fantômes peuvent être prévenants. Shannon Lay nous aide à retrouver le fil avec son nouvel album, Geist paru chez Sub Pop.