Fishbach vient mettre le chaos au Kao ce mercredi 26 octobre avec les yeux mais surtout avec sa voix d’outre monde et son univers baroque Tim Burtonien.
C’est drôle les cœurs d’enfant. Ça parle à tout, même quand ça n’en dit rien. Ça a des airs de tir sans sommation, de gros temps, comme de parfum d’innocence. Ça a des airs de goûter, de crêpes au sucre, ou de biscuits à la fraise. Il y a de ça chez Fishbach. Dans ses […]
Ce nouveau Voyou est rempli de tendresse avec son Carnaval, une ritournelle pétillante pour frétiller de la plume.
Il est des évidences comme il est des histoires d’équilibristes, de solistes pyromanes, de grands brûlés. Les écorchés, et leurs sublimes flammes. Fishbach est sûrement tout ça. La beauté d’un sourire triste. Une élégance tragique. Une pasionaria dénudée, et la grâce d’un cœur encombrant.
Les îles ouvre le deuxième album de Grand Blanc, Image au mur et c’est une invitation vers l’ailleurs, vers un monde mystérieux et mythologique qui rappelle Cythère, Ogygie ou Leucé.
Grand Blanc continue son parcours sans faute après un EP aux quatre titres encore dans nos oreilles, un premier album réussi, Mémoires vives, voilà que surgit le mur parfois infranchissable du deuxième disque.
Grand Blanc tient son tube avec Belleville, hommage vibrant à ce vingtième arrondissement melting poté, « grand jardin d’Eden belvédère fébrile » pour une grande chanson d’amour.
Mortel(le) Fishbach ? Assurément. Mais elle a pourtant survécu aux turbulences du succès depuis la sidération inouïe du printemps de Bourges 2016.
Après avoir parcouru la route avec Elephanz, Pegase et Rhum for Pauline, Thibaud Vanhooland trace sa route seul sous le nom de VOYOU. Armé de sa trompette et de sa veste qui arbore crânement le V de Voyou (ou de lavictoire), VOYOU propose des chansons pop qui doivent autant à ses rêves qu’aux plus belles […]
C’était une évidence pour le studio lyonnais un Poil Court de rendre hommage à Grand Blanc.
“L’artiste n’est artiste qu’à la condition d’être double et de n’ignorer aucun phénomène de sa double nature.” écrivait l’immense Baudelaire. Fishbach se dédouble ad lib au volant de sa Jaguar.
On jette plus qu’un œil sur Paupière qui débarque de la belle province en majesté avec Rex.
C’est l’amour fou pour un groupe, Grand Blanc découvert aux iNOUïS du printemps de Bourges et qui ne nous quitte plus depuis.
Dimanche 31 juillet 2016 à Cabourg. Le soleil trône fièrement sur les plages normandes. Sur le sable cabourgeais, tous les touristes ont pris leur tube de crème solaire. Sauf une personne : Fishbach.
En un EP, Fishbach nous a fait mortellement vibrer. Son passage aux iNOUïS du Printemps de Bourges a transformé l’Auron en rivière sauvage et sa voix sépulcrale transsubstantiera ce dimanche le sable de Cabourg en Béton mouillé.
Plateau d’argent massif au Fil ce vendredi 20 mai à Saint-Étienne au festival Paroles et Musiques.
« Merci, cela n’arrive pas tous les soirs des concerts comme ça » s’exclamait, ému, Benoit, l’un des points cardinaux de Grand Blanc à la fin de leur très belle prestation au Marché Gare à Lyon vendredi soir dernier.
On ne danse pas le Mia à la Surprise Party de Grand Blanc.
Ok, il fait un peut chaud pour un cours d’aérobic à l’heure des apéro-barbecs. Mais les Bagarre sont en forme et sortent la boite à gifles musicales !
Quand Grand Blanc chante Montparnasse en concert au milieu de leur set, c’est toujours un moment d’intense émotion.
L’homme serpent de Grand Blanc fait sa mue en images.
Ce qui frappe de prime abord quand on découvre Grand Blanc sur scène comme au dernier Printemps de Bourges, c’est la façon dont les 4 de Metz vous bousculent, vous ‘uppercutent’, vous ‘knockent’ out. On est pris, retourné, éparpillé façon puzzle, correctionné, dynamité, dispersé, ventilé !
Attention, titre renversant, groupe naissant et pourtant déjà passionnant, Grand Blanc se dévoile au grand jour et son Degré Zéro donne un coup de chaud à la cold wave à la française.