Vous aimez les vins naturels ? Vous aimez l’Auvergne ? Vous aimez le folk lumineux du Sunset Park d’H-Burns ? Ne ratez pas ce combo gagnant à La Belle Électrique de Grenoble le 1er juin, à la Cordonnerie de Romans-sur-Isère le 3 juin et à la Maroquinerie à Paris le 8 juin.
La Belle Electrique
Irremplaçable. dEUS revient après 10 ans d’absence et c’est le best Case Scenario !
Il a fallu six jours aux Tindersticks pour enregistrer No Treasure But Hope dans les studios parisiens de MidiLive. Et il nous faudra plus de six mois se remettre de ce trésor musical.
Flavien Berger vient de sortir Contre-Temps, un disque pop 4.0 qui « plie la réalité » en faisant voir des détails sur une bouteille de Pamplemousse, sans doute la plus belle chanson matinale de l’année. Avant d’aller l’écouter par exemple à l’Épicerie Moderne de Feyzin le jeudi 8 novembre, à la Belle Electrique de Grenoble le 26 […]
Dominique A avait toute l’attitude pour jouer son dernier album ainsi que des titres marquants de son immense répertoire dans cette formidable salle qu’est la Belle Electrique de Grenoble.
Que du bonheur avec Her à la Belle Electrique à Grenoble et que l’on reverra aux Nuits de Fourvière le dimanche 17 juin à Lyon.
Her vient de sortir son poignant premier album après une série de tubes sur ses Tapes #1 et #2 et celui-ci ne déçoit pas. De l’augural et programmatique We Choose au sublime hommage Good Night et ses quelques vers extraits du Hypnotise Me de The Popopopops, ce disque est une cathédrale de lumière, un hymne […]
Retour en images sur une très belle soirée dans une très belle salle à la Belle Electrique à Grenoble avec Moonrite, H-Burns et Bertrand Belin.
Le nouvel album d’H-Burns, le lumineux Kid We Own The Summer évoque « le dernier été avant la fin de la jeunesse« . Avec ce diptyque, We Could Be Strangers / This Kind of Fire, l’adolescence se fait incandescente et imprévisible.
H-Burns commence sévèrement à entrer dans le paysage musical hexagonal et à construire ce qui ressemble à une œuvre avec ce septième disque en dix ans. Avec Kid we own the summer (plus beau titre d’album de l’année ?), Renaud Brustlein prolonge le sillon tracé par le déjà formidable Night Moves en 2015.
H-Burns trace son sillon. En dix ans, le plus californien des valentinois a construit une œuvre cohérente et personnelle, émaillée de rencontres importantes comme les producteurs Steeve Albini et Rob Schnapf ou sur son dernier disque, Kid We Own The Summer, le violon de Bertrand Belin. Entretien avec l’apaisé et l’apaisant Renaud Brustlein.
Konstantin Gropper va bien, même très bien avec Get Well Soon, il distille de l’amour de sa voix suave comme hier soir lors de son passage remarqué à L’Epicerie Moderne de Feyzin.
20 ans après l’enregistrement de Popular, les franchophiles Nada Surf reviennent avec un premier titre en écoute, Believe You’re Mine.
Avec Safia Nolin, on entre déjà dans les turbulences des fêtes qui ne sont que défaites.
Le gentil géant à la voix d’or revient avec un album somptueux ce vendredi, Let it glow.
On ne demande pas à Robi si elle a du coeur.
On ne vous fera pas le coup de l’album de la maturité avec le déjà cinquième LP d’H-Burns. Pourtant Night Moves risque de marquer une étape importante dans la carrière du valentinois. Il suffit d’écouter ce parfait Nowhere To Be que l’on voudrait être le titre d’une plus grande reconnaissance pour un artiste discret qui […]