Bigflo & Oli écrivent leur lettre à France, simple, basique mais surtout efficace contre la petite musique nauséabonde de cette dernière semaine pré premier tour.
Son du jour - page 21
La Drôme, l’autre pays de la musique étrange et nihiliste. « S’exprimer, dire ce qui ne va pas ». Voilà le mot d’ordre d’Astéréotypie, groupe atypique venant d’un institut médico-éducatif accueillant de jeunes autistes que l’on rêve en duo avec Gontard.
Le kaiser Konstantin Gropper revient avec un sixième album, Amen plutôt guilleret malgré la pochette.
L’amour est dans l’air. Partout. On voudrait y croire. Avec Your love, RY X invente l’étreinte musicale. Un baume au cœur réconfortant et apaisant.
Le troisième album de Baptiste W. Hamon, Jusqu’à la lumière sort le 8 avril, l’occasion de fêter le printemps et de boire un coup.
C’est sans doute un hasard si le mal barré de Marie Flore sort au lendemain des quatre heures de sulfateuse libérale de notre Napoléon des hauts de France. Il reviendra chante t-elle mais c’est de l’amour très surestimé dont il s’agit.
Les Français m’agacent prodigieusement, mais comme je ne connais aucune langue étrangère, je suis bien obligé de parler avec eux affirmait Michel Audiard. Avec Excuse my French, Stan Mathis parle avec nous avec nos maux.
Bertrand Belin rentre dans la danse entre Dale Cooper et Severance pour une ghost story.
Non, Invisible Strings n’est pas une ode aux dessous chics. Plutôt un psaume visionnaire où désapprendre à penser permet de lutter contre les prédicateurs du printemps.
Chouette programme par Kēpa qui veut voir autrui allongé six pieds sous terre. Nous aussi.
En 2020, Every Bad était très bon. Born confused nous avait chamboulé, sweet nous avait renversé et en 2021, Happy In A Crowd nous avait alléché. Le 20 mai, Dana Margolin et Porridge Radio viennent nous mettre le cœur en bouilli avec un nouvel album, Waterslide, Diving Board, Ladder To The Sky dont est extrait […]
On connaissait les siestes crapuleuses, bienvenue sur disque le 13 mai aux micro siestes acoustiques sur le label Zamora avec la fine fleur de la sensibilité musicale autour de Bastien Lallemant.
Arlt va faire tourner les tables et parler aux vivants que nous sommes encore avec ce nouvel album « de chanson française expérimentale populaire avec des espèces de tubes à l’intérieur (ils tournent ils penchent) », Turnetable à paraitre le 20 mai chez Objet Disque et Kuroneko.
Grive a pris son envol sous la Tornade de Domitille Martin et Alexis Mérat aux Subs à Lyon.
Cate Le Bon au couvent ? Pas sûr. « Pompeii a été écrit et enregistré dans un bourbier de malaise. Solo. Dans un décalage temporel. Dans une maison où j’ai eu une vie il y a 15 ans. J’étais aux prises avec l’existence, la résignation et la foi. Je me sentais coupable du gâchis mais ça […]
Presque une décade que Courtney & the Wolves fait suer les caves bordelaises de leurs riffs rageurs néo grunge. Ils sortent enfin leur premier album le 7 mars chez Flippin’ Freaks.
Edgär nous livre son premier secret avec Dictators bien plus sympa que Poutine et Assimi Goïta réunis. Dans leur ferme des animaux, le duo amiénois a choisi le lion et le lapin pour débarquer sur la plage transformée en piste de danse.
Quel héritage nous laissera Mendelson ? Sans doute des frissons, des réflexions, l’absence de compromissions.
God is a concept by which we measure our pain chantait Lennon. Emily Jane White évoque son combat intime avec Show Me the War, premier extrait de son septième album Alluvion à paraître le 25 mars chez Talitres.
Avec Jane Jane, nouvel extrait de leur EP, Talismanie, Palatine et Vincent Ehrhart Devay mettent en scène trois figures féminines, Calamity Jane, Jeanne d’Arc et une Femen aux seins nus.
Premier extrait en exclusivité de l’album hommage AuRA aime Murat consacré au pistolero auvergnat qui a dégainé depuis 1982 près de trente albums. Pas simple donc de faire des choix dans cette discographie pléthorique.
Bientôt les vacances alors on part en colonie mais sûrement pas pour siester. Z.Z.Z. réveille au contraire notre palpitant.
L’Islande, l’autre pays de la musique. Avant la sortie de son nouvel EP, Mathieu Poulain alias Oh! Tiger Mountain nous offre en exclusivité un premier extrait illustré par Irène Tardif.
Du basculement. Florent Marchet revient huit ans après Bambi Galaxy avec de justesse qui ouvrira son cinquième album.
Tiny Shuttle anciennement Yannick Owen prend la route et nous propulse dans les Alpes entre mythe et enfance.
Ouvert pour cause de communion, La Maison Tellier revient aux sources avec un septième album et un second souffle, ample, épique, homérique.
Saturday night fever. La fièvre monte sur le dance floor, on se séduit et après quand la magie s’est évanouie, que reste t-il ?
Back to BÜRRHUS avec Cabadzi et sa la version en réalité augmentée de leur dernier album avec sept titres supplémentaires pour une saison 2 mise en images par Marian Landriève.
Non, vous n’êtes pas dans la saison 2 de la série Euphoria, Vincent Roberge n’est pas le le petit nouveau Elliot ou encore Fraser dans We Are Who We Are.
Que du beau monde sur le cinquième album de Cyril Mokaiesh. Dyade est un ensemble de deux éléments qui se complètent. On croise alors Alma Forrer, Calogero, Laura Mokaiesh, Keren Ann, Dominique A, Clara Ysé, Mélanie Doutey, Pierre Guénard (Radio Elvis), Florent Marchet, Raphaële Lannadère et sur La fin du bal, Élodie Frégé.