On l’a découverte la semaine dernière, on en reparle aujourd’hui… JAIN vient de mettre en ligne le clip de Come. En plus de nous faire taper du pied, la belle nous fait perdre la tête.
Son du jour - page 68
Captain Kid était parti pour un voyage au long court, il revient au port fin 2015 avec de nouveaux titres à la rentrée pour mieux négocier l’album à venir.
Il aurait pu perdre le Nord avec son premier titre Drunk ou la tête puisqu’en playlist sur France Inter.
Times, l’album des Hyphen Hyphen sort le 22 juin, deux titres étaient déjà écoutables. Ce soir ils nous offrent le 1er clip avec Just Need Your Love.
Einleit ne sont plus des enfants de chœurs, le trio parisien est ouvert à tout, même à plus de lumière dans leur messe noire pop.
« La sérénité ne peut être atteinte que par un esprit désespéré et, pour être désespéré, il faut avoir beaucoup vécu et aimer encore le monde. » avançait Blaise Cendrars dans Une nuit dans la forêt.
Après Last Train voilà qu’entre en gare du rock le quatuor parisien Midnight Locomotive.
Le fantôme est la conclusion de Composite, le deuxième album interstellaire de Monogrenade sorti il y a un an et peut être injustement ignoré.
Pygmy Johnson est un voodoo child revenu d’outre monde pour secouer notre sac d’os.
Eléor est une île imaginaire où Dominique A vous attire tel une sirène en vous susurrant suavement Quand de tout vous serez lassés, Juste un canal à traverser, Rejoignez-moi à Eléor… C’est l’avant dernière chanson du dixième album qui nous invite à regarder l’océan différemment.
Il y a des artistes que l’on aimerait moins confidentiel mais que l’on voudrait aussi garder pour soi.
On ne demande pas à Robi si elle a du coeur.
In bed with Marie-Flore ? Pas tout à fait, mais le clip du formidable Number them dévoile l’intimité des concerts, des à côtés notamment à l’Olympia avec Le Prince Miiaou ; ces images figureront dans un documentaire à venir de Stéphanie Rouget et Boris Barthès.
Après mure réflexion, le nouveau titre de Django Django vaut mieux que son clip où le groupe londonien se transforme en playbomils cinétiques.
On se lève tous pour Barnett ! Cette Courtney que l’on aime de plus en plus.
Les Palma Violets reprennent des couleurs et ont la langue bien pendue avec cet English Tongue.
Après avoir ouvert Le Cahier bleu, une collection de livres de photographies et de nouvelles littéraires autour de la baignade et de ses secrets intimes, Alexandre Rochon du Delano Orchestra se jette à l’Eau avec un premier album en solo et en français sous le nom d’Alexandre Delano.
Les VKNG vont-ils conquérir l’Europe avec leur electro pop sensuelle et lascive ?
Ballade à New York en noir et blanc. Tuner Cody revient avec un album intime et somptueux, Plans and Schemes le lundi 27 avril.
En Avril, les Burning Peacocks ont fini de jouer.
T’as ton Tanns était la rengaine des années 80, en 2015 cela sera t’as ton DAN !
En 2012, Rhum For Pauline affirmait crânement dans leur deuxième EP : I Can Reach The Top.
On ne louera jamais assez Microcultures, pour la classieuse rénovation de The Apartments et la récente sortie du splendide No Song, No Spell, No Madrigal.
Iñigo Montoya! sort un premier EP le 18 mai. Après le serpent est un titre avant coureur, véritable lavomatic musical qui transforme le jardin d’Eden en jardin des délices à la Jérome Bosch.
« Vous nous ennuyez avec votre jeunesse. Elle sera la vieillesse dans trente ans » clamait Jean Giraudoux. Et bien des vieux comme ça, on en redemande. Encore une bien belle madeleine de Proust à se mettre entre les oreilles pour les quarantenaires et plus avec le retour de The Lilac Time.
Chez Eliott Jane douceur et dureté se mêlent, noir et blanc se diaprent de variations entre ouate et coton. L’amour oscille et la caméra avec lui éparpille façon puzzle le corps et l’âme de cette jeune lyonnaise au réveil.
We Are Match nous allume avec son Speaking Machines.
Ina Ich ? bon c’est assez abscons mais ça tabasse dur.
Encore une perle venue du Québec. Après Marie Pierre Arthur, Lisa Leblanc, Salomé Leclerc, ou encore Klô Pelgag, voilà que déboule Safia Nolin.
On avait déjà beaucoup aimé Blood et sa psalmodie chamanique sur fond de guitares gémissantes.