Pretty love songs always make me cry chante la charmante Clairo sur l’album hommage Like Someone I Know : A Celebration of Margo Guryan. Avec Sexy to Someone, elle veut briller et c’est réussi avec ce bijou pop.
Pop
Groove, c’est du belge ! Fabiola bientôt roi du plat pays le transforme en piste de danse avec ce Tarentella psyché à découvrir en live à Rockerill.
Vous êtes fatigués du gris parisien, les palinodies des politiques vous agacent ? Echappez-vous sous le soleil de Rimini, en famille, avec Arimna de Mensis.
Le fil-de-fériste musical transalpin Vinicio Capossela fera la fête au Bataclan le mardi 10 décembre pour une soirée déjà mémorable.
How bad could it be chante le duo queer Kids With Buns, leur dernier single, Geef Al Je Geld Aan De Arme Kinderen (Donnez tout votre argent aux enfants pauvres) apporte peut être un début de solution.
On n’arrête plus la course de Station 44, après Lover Instead, déboule un deuxième titre mis en images par Baptiste Camps, In Time avec La Malice et un troisième, Plastic Feels avant la sortie de son premier album Roads le 6 décembre.
Sum’One, c’est le producteur danois Michael ‘Just Mike’ Munch (Dafuniks, Otis Stacks) qui sort son premier EP Hello Vera le 22 novembre chez Underdog Records et nous offre en exclusivité un titre, Let It Snow.
Jason Del Campo et Black Lilys ont délivré des caresses musicales dans l’écrin de la fosse de l’Épicerie Moderne complète pour fêter leur dix années en revisitant leur discographie sus l’œil ému de Fabrice Buffart qui n’est pas manchot.
Les liens invisibles c’est peut être être connecté malgré l’éloignement géographique, malgré la perte d’un être cher. Les Black Lilys se réapproprient leurs chansons avec la première partie de Years Later disponible chez La Ruche.
Qu’écouter un 11 novembre que certains ultra libéraux sans mémoire veulent nous ravir ? Peut-être ce trio texan au nom étrange, Khruangbin (« Engine Fly » en thaï) pour rester debout.
J. Bernardt, la moitié chantante de Balthazar revient avec un deuxième album, Contigo chez [PIAS] et une série de concert en France dont le Samedi 30 novembre à l’Épicerie Moderne.
Les lyonnais d’Hannah Miette vous invitent à fêter avec leurs amis la sortie de leur premier album à l’Archipel à Paris le samedi 9 novembre.
Olga Bost et Château Forte ont séduit le public fidèle d’À Thou Bout d’Chant sous l’œil fidèle de Fabrice Buffart.
Encore un OVNI musical. Presque 20 ans que Phil Elverum (The Microphones, désormais Mount Eerie) propose une musique hybride venue d’ailleurs. Son onzième album, Night Palace vient de sortir et il est luxuriant avec ses vingt six titres et ses plus de 80 minutes.
Putain 10 ans ! 10 ans que notre cœur d’artichaut a été touché par Dust Of You et les frimousses des deux petits indiens de l’EP Memories Of A Blind Mind.
Mattiel est un ovni musical. Avec cette reprise de Terri Gibbs, c’est une diablesse en rouge qui vient frapper à notre porte ou plutôt dans les Alpes italiennes.
Melba fête la sortie de son nouvel EP au Club-Transbo le samedi 9 novembre. La drama queen lyonnaise mettra le feu (sacré) dans l’ancienne usine des eaux et vous invite non pas au tir aux pigeons mais à une séance de piqûres de poupées vaudou.
Les lyonnais d’Hannah Miette vous invitent à fêter avec leurs amis la sortie de leur premier album au Périscope le vendredi 8 novembre.
Après The Life In Me, Homme Bleu nous offre une petite virée entre San Francisco, L.A et Marseille avec ce vibrionnant et insaisissable I Ride.
Est-ce que tu connais le cœur des gens de ceux qui ne parlent pas questionne Margaux Delatour qui chante sur L’écume qui figure sur le premier album d’Hannah Miette.
Envie de douceur, d’ailleurs et de sirène un dimanche ? Before The Crashing Waves d’Elysian Fields vous comblera avant le fracas d’une nouvelle semaine.
Le grand inquisiteur Bobby Gillespie nous pointe du doigt et nous incite à brûler notre karma. Primal Scream sortira son douzième album, Come Ahead le 8 novembre chez BMG. The center cannot hold est le deuxième clip après Love Insurrection.
Après avoir sublimé le vide, Elias Dris nous emmène dans un Los Angeles loin de Sunset Boulevard ou du Hollywood Walk of Fame.
Après deux EP colorés, l’angoumoisin Simon Penard-Philippe alias Station 44 s’apprête à sortir un premier album dont est extrait Lover Instead.
Derrière Music For Alternative Babies se cache Sebi (Shit Browne, School Daze) qui compile en deux volumes ses lubies et son talent entre reprises chaotiques et compositions poétiques.
Warhaus déclare sa flamme à l’être aimé. « It’s simple as babe I’m in love with you ». L’amour encore et toujours produit de belle chanson surtout chantée de la voix de velours côtelé de Maarten Devoldere.
Ce son du jour est attendu depuis seize ans. Un vulgaire caillou nous rajeunit de quasi deux décades avec une voix familière presque inchangée et un morceau de sept minutes de bonheur presque enfantin.
Solak nous offre en exclusivité son nouveau titre, Different Timing extrait de son deuxième album à paraître chez Capitane Records, Atlas.
Explicite Lola Young. Depuis sa débaroulade avec My Mind Wanders and Sometimes Leaves Completely, la jeune londonienne Lola Young fascine par sa fougue et son franc parler.
Paul serait mort en 66 même s’il sera en concert à la Défense Arena les 4 et 5 décembre. Mais les Beatles sont bien vivants et ils sont coréens.