Le monde, faut faire avec. The Limiñanas convie Bertrand Belin un jeudi en pleine paix. Pourtant, on le sait depuis longtemps, si vis pacem, para bellum. Alors on fait le tour du monde et bien plus encore avec nos Philleas Fog avant le cataclysme ultime avec un titre que l’on emmènera là où aucun homme n’est allé auparavant.
The Limiñanas & Bertrand Belin – J’adore le monde
J’adore le monde
Les os sont blancs
le sang rouge
quand il y a du vent ça bouge
il y a les rivières
les films d’épouvante
pour les pièces de monnaie
il y a des fentesj’adore le monde
car il y a le temps
l’espace
que les guerres
éventuellement
passent que ça se tassej’adore le monde
et tout ce qui palpite
gronde
j’adore le mondena na na na na na na na na na
j’adore le monde
la pluie qui vient du ciel
du ciel tombé dans l’oubli
j’adore la nuit
la nuit, car j’ai peur de la nuitna na na na na na na na na na
j’adore le monde
la galaxie
quand la vie te sourit
y a rien de plus sensas, tu décolles
seul bémol
quand la vie ne te rigole
tu te sens tout petitna na na na na na na na na na
tout petit, tout petit, tout petit petit petit
a côté de la plaque
exactement juste à côté
pas en dessous
pas n’importe où
à côté de la plaque
de couacs en couacs
d’échecs en échecs
mal à l’estomac
besoin d’un break
n’importe quelle bagnole
besoin d’une boussole
je suis pas dans star trek
le monde, faut faire avec
faut faire avec le monde
avectout petit petit, petit, petit, tout petit, petit, petit
tout petit petit, petit, petit, tout petit, petit, petit
faut faire avec
le mondeavec
tout petit, petit, petit, petit