Guimauve 11 Oct 2011
J'ai découvert le bonhomme Astor dans la compilation hommage au grand Cohen I'm your fan où pistol Pete Astor dégainait un "Many men have loved the bells" dans Take This Longing, puis dans le numéro 35 des Inrocks mensuels où Nick Cave posait en vierge à l'enfant pour 22 francs.
Peter Astor
C’était un autre son de cloche, les années 90… Il avait touché du doigt le paradis, on le croyait perdu de vue et il nous offre cette année une boite à malices bourrée de petites histoires lumineuses aux mélodies délicates et élégantes, on est loin de la vieille charrue Reed… Peter Astor prouve qu’à plus de 50 ans on a encore des choses à dire avec la manière, il fait la nique à beaucoup de petits songwriters jeunots et prétentieux tout en poursuivant une carrière à l’université de Westminster où il paufine ses recherches sur la musique populaire. Dans ce Dead Trompet, il ne court pas après celles de la renommée, il poursuit sa balade douce amère en artisan façonnant des bijoux.