Silent Servant
Encore une fois on navigue avec Juan Mendez dans les bayous les plus glauques de la techno, celle poisseuse qui vous colle à la peu et vous laisse un gout amer dans la bouche mais vers laquelle, telle la drogue la meilleure, on ne peut s’empêcher de revenir pour s’y frotter une fois encore. Finalement vu la quantité de disques que sortent les anciens de Sandwell District on se dit que la techno versant dark et indus a encore de beaux jours devant elle et ce n’est pas l »époque qui nous contredira. Serait-ce l’avènement du dancefloor de la fin du monde, du moins du monde tel que nous le connaissons ? Rendez-vous donc sur les ruines fumantes du Palais Brongniart, du New York Stock Exchange ou de Kabutochō dans quelques temps…
Silent Servant – Invocation Of Lust
Silent Servant – The Strange Attractor
Silent Servant – Utopian Disaster (End)