« Il n’y a pas de futur à craindre à présent, il n’y a pas de futur, tout se passe en même temps ». La carte postale animée par Arthur Coulet inspirée de celles de l’Américain Curt Teich au début du XXe siècle. Ghern vient du Havre, sans doute davantage Queneau que Ruquier, mais surtout le regard au delà de l’Atlantique. Et comme l’écrit Paul Auster dans Moon Palace, « Une fois qu’on a goûté au futur on ne peut pas revenir en arrière. »
Ghern – Beau Futur
Discographie
GhernSur le boulevard le vent souffle
Sur les anciens remparts
De nos mémoires passées
Le tramway se dirige lentement vers la gare
Le temps ça n’existe pasOn ne saurait dire pourquoi
Tout arrive en même temps
Les vagues sur le brise-lames
Comme des bises sur la joue
Au bout de la jetée
Le temps ça n’existe pasÔ futur mon beau futur
Autour de moi s’étend
Un monde sans futur
À craindre à présent
Ô futur mon beau futur
Resplendis comme avant
Il n’y a pas de futur
Tout se passe en même temps
Tout se passe en même tempsEt au café indifférent
Devant le beffroi
On devine le fracas
Du vase de Soissons qui se brise à l’instant
En 1000 fragments de rêve
Le temps ça n’existe pas
À croire ce garçon qui dit venir de Gênes
Et jure que s’il fait route avec ses caravelles
C’est pour accoster les IndesÔ futur mon beau futur
Autour de moi s’étend
Un monde sans futur
À craindre à présent
Ô futur mon beau futur
Resplendis comme avant
Il n’y a pas de futur
Tout se passe en même temps
Tout se passe en même tempsÔ futur mon beau futur
Autour de moi s’étend
Un monde sans futur
À craindre à présent
Ô futur mon beau futur
Resplendis comme avant
Il n’y a pas de futur
Tout se passe en même temps
Tout se passe en même temps