clip : 49 Swimming Pools – Tim Lester Zimbo’s friends

Pascal Blua exposera du 3 au 22 février dans le cadre du festival Hibernarock à Aurillac une sélection de ses travaux graphiques pour la musique.

Il y a des disques qu’on a beaucoup écoutés et qui ne comptent pas. Il y a aussi des disques qu’on a écoutés au final assez peu mais qui ont beaucoup compté. Est-ce que l’amour restera ? fait partie de la seconde catégorie. Ce disque, enfant prodige des Melville, combina le sens du détail des […]

Les 49 Swimming Pools ont investi pendant deux soirs une des scènes du CentQuatre, le centre d’art parisien dirigé d’une main de maître par José-Manuel Gonçalvès, pour jouer leur dernier album, How The Wild Calls To Me .

« La géographie, ça sert, d’abord, à faire la guerre » écrivait Yves Lacoste en 1976. On lui rétorquera qu’elle sert aussi à faire de bons disques voire d’excellents. La preuve en est avec le nouvel album des 49 Swimming Pools intitulé How the Wild Calls to Me qui nous emmène à la recherche d’Everett Ruess.

C’est le retour de la tornade Kae Tempest avec un titre fulgurant et essentiel prodrome on l’espère à un prochain album.

Dans la piscine de Beau Bandit, on s’emmerde beaucoup moins qu’il y a plus de 25 ans dans celle des Little Rabbits.

Après Ces gens qui m’aiment, 5 minutes avec et J’ai encore fait pleurer maman Checler nous offre L’Emprise tourné et monté en une seule nuit blanche, sous les lumières “naturelles” de Paris, et des phares d’une vieille Peugeot 206.

On avait croisé les hollandais de Rats On Rafts avant les Black Lips à l’Epicerie Moderne. Leur nouvel album, Deep Below chez Fire Records sonne mieux que les derniers Cure et Slowdive réunis. Alors ne les ratez pas ce soir au Sonic à Lyon !